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Presse

CD La Rose des Vents de Mauricio Kagel
par l'Ensemble Aleph

 

"Un voyage musical à savourer (...) exécuté avec souplesse et esprit par l'Ensemble Aleph."

(5/5 étoiles - Sélection albums de la semaine) The Guardian

“Très actif dans le paysage de la musique d'aujourd'hui, le « collectif de solistes associés » qu'est l'Ensemble Aleph joue passionnément son rôle de guide, et nous fait savourer chaque étape de ce fascinant itinéraire. (...) On sait donc tout autant gré à l'Ensemble Aleph de proposer l'ensemble du voyage que de l'interpréter avec le juste dosage de sérieux et de fantaisie réclamé par cette musique vagabonde.”

(ʄʄʄʄ) Télérama

"Cette Rose des vents musicale est d’une hypnotique beauté très théâtrale."

(Coup de coeur) Qobuz


"Les qualités de l’ensemble Aleph n’ont pas besoin d’être rappelées. Depuis sa formation en 1983, ce collectif de compositeurs et d’interprètes a souvent mis des œuvres de Kagel à ses programmes, intimité précieuse pour trouver le ton juste de ces pièces."

(5/5 Diapasons) Diapason 

 
"Ni kitsch ni expérimental, le propos est toujours réjouissant. (...) Le compositeur invente, en fait, une musique du monde ayant pour objectif de déboussoler l’auditeur. Kagel, lui, ne perd jamais le nord."

(Sélection albums de la semaine) Le Monde

 

"L’Ensemble Aleph (est) une remarquable formation dite « à géométrie variable ». (...) Mauricio Kagel est, d’abord et avant tout, un artiste, un voyant. Et les Huit Pièces de la Rose des vents en sont la preuve par… huit."

(10/10 Joker) Crescendo Magazine

8ème Forum International des Jeunes Compositeurs
par l'Ensemble Aleph au Théâtre de l'Aquarium

 

"Attentif à la jeune génération et interprète très actif dans l’univers de la création musicale, l’Ensemble Aleph a créé le Forum International des Jeunes Compositeurs en 2000. (...) La prestation des musiciens d’Aleph sous la direction exemplaire de Michel Pozmanter au service d’écritures aussi différentes les unes des autres, est rien moins qu’impressionnante."

(Michèle Tosi, le 11-05-2017, ResMusica)

Festival D'Aujourd'hui à Demain
Musique et création à Cluny

 

"Pilier de ce festival de musique contemporaine, l’Ensemble Aleph y célèbre son 35ème anniversaire le soir de l’ouverture de la 17ème édition, au farinier de l’Abbaye de Cluny, avec un « bal contemporain » des plus originaux. Le public y sera invité à danser sur des pièces écrites ou arrangées pour l’occasion par des compositeurs du monde entier."

(Télérama, n°3569, du 9 au 15 juin 2018)

"Avis aux oreilles curieuses et non formatées : en France, pendant l’été, vous ne trouverez pas d’autre manifestation qui s’intéresse autant à la musique contemporaine, celle-ci s’entendant au sens large, et comprenant aussi bien des pièces inscrites depuis plusieurs décennies au répertoire que des créations d’oeuvres encore jamais entendues en France, voire dans le monde entier. […] L’ensemble Aleph, pilier du festival, propose en ouverture un « concert-création » d’esprit viennois, entièrement constitué de transcriptions."

(Sophie Bourdais, le 07-06-2017, Télérama)

"L'ensemble Aleph joue Messiaen, une musique contemporaine mais grand public [...]

L’ensemble Aleph travaille la musique contemporaine et s’adresse à tous les publics dans un souci de partage, d’innovation et d’expérimentation permanente."

(Le 25-02-2016, Le journal de Saône et Loire)

"On pourrait les appeler les « défricheurs ». L’Ensemble Aleph et ses solistes de talent sont toujours à la recherche de nouvelles musiques, de nouvelles compositions. Du Mexique à la Chine, les dix musiciens d’Aleph joueront ici les compositions de six jeunes compositeurs, choisis parmi les 150 partitions envoyées pour leur 7ème forum international de jeune compositeur."

(Le 4-07-2014, Le journal de Saône et Loire)

 

"Le dernier concert du festival D’Aujourd’hui à demain qui a vu une suite de concerts aussi merveilleux les uns que les autres a permis de clore en apothéose l’événement, devant un public fidèle venu parfois de loin. L’ensemble Aleph, collectif de solistes associés créé en 1983, a fêté son anniversaire en interprétant La rose des vents de Mauricio Kagel. L’orchestre de salon, complété par des percussions, s’est élancé pour un long voyage du nord au sud avec huit morceaux successifs portés par les vents et inspirés des points cardinaux. Où qu’il soit, Kagel hume les sonorités et relie par la musique cultures et continents. Dans l’esprit du compositeur, qui affirmait insuffler dans ses partitions toute son âme et son amour de la musique, les neuf artistes ont donné une très belle interprétation de cette œuvre de musique contemporaine."

(Martine Magnon, le 14-07-2013, Le journal de Saône et Loire)

Vie de Famille de Jean-Pierre Drouet
par l'Ensemble Aleph au Fast Forward Festival, Rome, Italie

 

"Le troisième soir au Teatro India, le festival reprend de plus belle avec Vie de famille signé Jean-Pierre Drouet. Le célèbre compositeur et interprète français de 81 ans confie à l'Ensemble Aleph une sorte de jeu sonore en dix mouvements. La «famille» d'interprètes extraordinaires est bien singulière: visages, corps et vêtements affichent modestie et familiarité. On comprend ensuite qu'ils savent parfaitement ce qu'ils font. Une mélodie tendre pour voix seule, des battements de cloches « abstraits », un trio de voix qui fait de la douceur un concept piquant, une « conférence » finale incroyable du percussionniste Jean-Charles François où l'on nous parle d'un « non-lieu utopique » sont autant de moments précieux. ."

(Mario Gamba, le 31-05-2016, Il Manifesto)

sextuor a cordes.jpg
Sextuor à cordes, Autour de La nuit transfigurée
par l'Ensemble Aleph au Conservatoire Tyndo de Thouars

 

"Il est toujours impressionnant de voir jouer un orchestre professionnel réputé. Dimanche, l’ensemble Aleph, a joué des morceaux pour sextuor (ensemble de six musiciens) à cordes, deux œuvres majeures : « Souvenir de Florence », de Tchaïkovsky, et « La Nuit transfigurée », d’Arnorld Schönberg. Avec près de 300 créations et 950 concerts, l’ensemble Aleph jouit d’une réputation nationale. Le public ne s’y est pas trompé, puisque plus de 80 spectateurs sont venus écouter ses musiciens (violon, alto, violoncelle). Plaisir des oreilles, et des yeux : face à la vigueur et la précision des violoncellistes, on peut se demander si c’est le musicien qui interprète la musique, où si c’est la musique qui s’empare de lui…"

(Le 21-05-2018, La nouvelle république)

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